APR 2014 Matinée d'information et d'échanges
Une réunion de présentation de l’appel et d’échanges entre porteurs de projets et les instances de l’appel s'est déroulée le 29 novembre 2013.
Synthèse des questions-réponses
Q : Est-ce qu'il obligatoire qu'un laboratoire spécialisé en biodiversité soit associé ?
R : Non, les équipes se structurent en fonction de la problématique de recherche posée.
Q : Est-ce que l'on peut ne répondre que sur l'aspect biodiversité ?
R : Oui, mais l’appel encourage l’interdisciplinarité et une approche croisée des projets est souhaitable. L’enjeu de la biodiversité n’est pas une question que l’on peut séparer d’une approche paysagère par exemple. Autrement dit, la biodiversité est avant tout un questionnement qui permet de saisir les continuités entre les enjeux écologiques et les conséquences sociales d’une infrastructure.
Q : Est-ce qu'un laboratoire peut répondre sans être associé à un gestionnaire ?
R : Il n'y a pas d'attente particulière sur la formation des équipes. Toutefois il est important que les résultats des projets puissent trouver une application concrète dans la gestion ou la conception des ILTe, par conséquent la consultation d’un ou plusieurs gestionnaires est encouragée Les outils de compréhension manquent et l’appel est en attente de différentes propositions. Il est important de rentrer en dialogue avec les opérateurs. Elodie Jaussaud, secrétaire du CILB est le point de contact : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..
Q : Est-ce qu’un projet travaillant sur des autoroutes est éligible ?
R : Oui, mais les sociétés autoroutières n’ayant pas signé le protocole d’accord, il n’y a aucune garantie de pouvoir accéder aux sites et de disposer de leurs données, contrairement aux engagements pris par RTE, GRTgaz, ERDF, TIGF, VNF, RFF et le MEDDE sur le réseau routier non concédé. Un projet concernant uniquement les sociétés autoroutières ne pourra pas être accepté : les projets portant des sur différents types de réseaux seront très fortement appréciés lors de l’évaluation.
Q : A quelle échelle peut-on travailler ? Est-ce qu’un éco-quartier peut-être envisagé ?
R : La question des emprises vertes dans des milieux urbains dense est très pertinente. Les échelles dépendant des objectifs, les travaux peuvent descendre à des échelles très fines, y compris en zone urbaine, mais sous réserve de bien conserver l’entrée infrastructure dans l’approche. Il est recommandé ne pas se focaliser sur les éco-quartier, mais plutôt sur une continuité territoriale et sur l'aspect urbain.
Q : Faut-il travailler sur différents types d’infrastructures (transports de personnes, de biens et d’énergie) ?
R : Les projets portant des sur différents types de réseaux seront très fortement appréciés lors de l’évaluation. L’interaction entre différentes infrastructures aussi.
Q : Peut-on monter un projet exploratoire sans partenaire ?
R : Les projets exploratoires sont de micro projets d'une durée maximum de 1 an et d'un montant maximum de 10 000 € TTC sur des thèmes émergents. Il est donc demandé qu’il n’y ait qu’un seul contractant qui, après, s’organise comme il le souhaite.
Q : Est-il possible de poser différents types de projets : recherche, exploratoire voire état de l’art ?
R : Oui, sous réserve des capacités de l’équipe à mener de front plusieurs engagements.
Q. : Peut-on s’associer avec des partenaires étrangers ?
R. : Oui, sous réserve des possibilités de gestion des financements.
Q : Le CEREMA peut-il être porteur d’un projet ?
R : Oui.